Ressources
L'impact de la reconnaissance au travail
La reconnaissance est un levier de santé.
De nombreuses études montrent que le mal-être et l’absentéisme sont plus élevés lorsque les employés expriment un manque flagrant de reconnaissance au travail.
Pour beaucoup d’experts, le manque de reconnaissance est désormais identifié comme le premier risque psychosocial devant la charge de travail.
La reconnaissance agit sur la performance, sur la productivité et sur l'engagement.
Une expérience réalisée par une entreprise canadienne a montré qu'il existe une forte corrélation entre les gestes de reconnaissance et la rétention des employés et des clients.
Une autre étude a souligné qu'environ 50 % de la variation de l’engagement au sein d’une entreprise sont expliqués par la reconnaissance.
Enfin, la reconnaissance au travail constitue un élément fondamental de la gestion du changement et de son succès.
« La reconnaissance au travail est un élément clé de l’identité et de la santé des personnes ainsi qu’un outil de croissance, de transformation et d’efficacité économique des organisations»
Christophe Laval Président fondateur de VPHR
Synthèses
Articles
Livre
Le pouvoir de la reconnaissance au travail
De nombreuses études montrent que la reconnaissance est le principal facteur d’engagement des salariés. Or, souvent, les blocages s’installent: les salariés estiment que leur travail n’est pas reconnu à sa juste valeur, le manager pense que son équipe ne voit pas tous les efforts qu’il fait pour elle, et le dirigeant est rarement bien vu puisqu’il est le boss.
Comment faire bouger les lignes ? Tourné vers l’action, ce livre aborde 30 facettes de la reconnaissance au travail, et propose au lecteur des réponses, de multiples exemples, des pistes de solutions simples. Car, au-delà des augmentations de salaire ou des primes, il existe une multitude de pistes pour développer la motivation individuelle et la mobilisation collective.
Un livre qui s’adresse donc tout autant aux managers, aux employés et aux responsables de ressources humaines qu’aux dirigeants des entreprises.
147 pages